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L’histoire de Lyon en cinq dates

Histoire de Lyon basilique de Fourvière
Basilique Notre-Dame de Fourvière – Lyon

Depuis sa fondation au milieu du premier siècle avant notre ère, Lyon n’a cessé de se métamorphoser. Dès lors, quelles dates retenir pour se faire une idée de la richesse de son passé ? Plongée dans l’histoire de Lyon, une cité aux mille facettes, où chaque ruelle pavée résonne des échos lointains de son riche passé.

43 avant notre ère : fondation de Lugdunum ou début de l’histoire de Lyon

Au cœur du Ier siècle avant notre ère, la cité de Lyon naît des cendres de la Guerre des Gaules (58-52), orchestrée par le célèbre Jules César. Quelques mois après son assassinat, le Sénat romain estime que l’armée de César est dangereuse. Il confie à Lucius Munatius Plancus la mission de fonder une nouvelle colonie sur la colline de Fourvière. La nouvelle colonie, baptisée Colonia Copia Felix Munatia, puis Colonia Copia Lugdunum, devient rapidement le joyau de la Gaule romaine.

De ce moment important de l’histoire de Lyon, les fouilles archéologiques ont révélé de nombreux trésors romains :

  • le plus ancien théâtre de Gaule (rue Cléberg)
  • les thermes (rue des Farges)
  • des mausolées (place Wernet)

Sur la colline de la Croix-Rousse sont conservés les vestiges de l’amphithéâtre des Trois Gaules, là où se réunissaient les représentants des soixante nations gauloises pour célébrer le culte à Rome et à Auguste.

Le musée Lugdunum renferme une magnifique collection de stèles, de statues, de bronzes et de mosaïques de l’époque gallo-romaine à Lyon. C’est un des plus beaux musées de la ville. Ouvert du mardi au dimanche, son entrée est gratuite pour les détendeurs de la Lyon CityCard 24 h/ 48 h/ 72 h/ 96 h.

1528 : découverte des Tables claudiennes sur les pentes de la Croix-Rousse

En 1528, deux fragments de plaques bronze révèlent les Tables claudiennes, offrant une fenêtre fascinante sur le discours de l’empereur Claude à Rome en 48 devant le Sénat. L’empereur donne l’accès à la magistrature aux élites gauloises.

Ces vestiges, dévoilés par Roland Gribaux, marchand drapier, trônent aujourd’hui au musée Lugdunum sur Fourvière. Ils sont les témoins silencieux d’une époque où les élites gauloises accédaient à la magistrature.

Il est aussi aussi de voir des reproductions des Tables claudiennes dans la cour intérieure du musée de l’Imprimerie (13, rue de la Poulaillerie – 69002). D’ailleurs, si vous avez l’occasion, je vous recommande de visiter ce musée dont la collection est reconnue au niveau internationale. Il présente au public l’évolution des procédés d’impression depuis la fin du Moyen Âge ainsi que des documents imprimés rares et exceptionnels. Son entrée est, elle aussi, incluse dans la Lyon CityCard.

1853 : percement de la rue Impériale

Au XIXe siècle, un souffle de modernité parcourt l’histoire de Lyon, incarné par le préfet Claude-Marius Vaïsse. Le percement de la rue de la République, autrefois Impériale, transforme la Presqu’île en un véritable chef-d’œuvre urbain, reléguant au passé les zigzags des rues et les traboules de la Presqu’île. La rue de la Ré, petite nom donnée par les Lyonnaises et Lyonnaises, et sa parallèle, la rue du Président Édouard Herriot (ancienne la rue de l’Impératrice) relient la place des Terreaux à la place Bellecour. 

Et si ces belles rues bien droites sont là aujourd’hui, c’est pour une seule raison : faciliter les charges de la cavalerie en cas d’émeutes. Les révoltes des Canuts des années 1830 ont profondément marqué les puissants. 

1872 : pose de la première pierre de la basilique de Fourvière

En 1872, c’est un moment important de l’histoire de Lyon avec la pose de la première pierre de la basilique Notre-Dame de Fourvière. Cette cérémonie solennelle a été le point de départ d’une entreprise audacieuse qui donne naissance à l’un des monuments les plus emblématiques de la ville. À la tête de cette entreprise visionnaire se trouvait l’architecte Pierre Bossan

Depuis le Moyen Âge, le site est dédié au culte mariale avec la fondation d’une chapelle en 1168 par Olivier de Chavannes. Par ailleurs, lors d’une épidémie de peste au début du XVIIe siècle, les échevins font un vœu : venir en pèlerinage annuel à Fourvière si la peste cesse. Chaque 8 septembre, les échevins (et maintenant le maire et les conseillers municipaux) respectent cet engagement en se rendant en haut de la colline de Fourvière.

Mais, le jour qui représente le plus l’attachement des Lyonnaises et Lyonnais à la basilique de Fourvière est le 8 décembre quand, à la nuit tombée, la ville s’illumine à la lueur des bougies. Ce jour-là, en 1852, c’est l’inauguration de la statue en or de Marie réalisée pour orner le clocher de l’église de Fourvière. Mais, la pluie s’invite à la fête. Les Lyonnaises et Lyonnais refusent de la reporter et déposent leurs lumignons sur le bord de leurs fenêtres. Depuis, la tradition perdure… C’est devenu la Fête des Lumières.

1993 : inauguration de l’Opéra de Lyon

En 1826, un incendie ravage l’Opéra de Lyon réalisé par Soufflot. Pour le remplacer, Antoine-Marie Chenavard et Jean-Marie Pollet se voient confier la construction du nouveau bâtiment, inauguré en 1831. En 1986, face à la vétusté de l’édifice, un concours de réhabilitation est lancé. Jean Nouvel le remporte est décide ne conserver que la façade et le foyer du public. Avec cinq étages en sous-sol, sept cachés derrière la façade et six sous la verrière, l’Opéra de Lyon marie avec succès classicisme et modernité.

Lyon histoire infographie
Chronologie de l’histoire de Lyon

Connaissez-vous l’origine du nom de Lyon ?

Lugdunum est le nom latin de Lyon. Au cours de l’Antiquité, d’autres villes françaises s’appelaient ainsi : Laon (Lugdunum Clavatum) et Saint-Bertrand-de-Comminges (Lugdunum Convenarum).

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À la découverte du Grand Temple de Lyon

Grand Temple Lyon Protestantisme
Intérieur du Grand Temple de Lyon

Découvrir le Grand Temple de Lyon, c’est s’immerger dans une histoire riche et mouvementée, où les racines de la foi protestante ont profondément marqué son édification. Au cœur de la ville, ce lieu sacré incarne la diversité et la vitalité de la communauté protestante lyonnaise, dont l’histoire s’entrelace avec des figures emblématiques telles que Blandine, Pierre Valdo, et Martin Luther.

Au sommaire :

Petit point historique du protestantisme en France et à Lyon

Blandine est l’une des premières chrétiennes connues à Lyon : elle a été jugée en 177 et connu le martyr dans l’amphithéâtre de Lyon (sur les pentes de la Croix-Rousse). Au cours du Moyen-Âge, Pierre Valdo, riche marchand drapier lyonnais, cède toute sa richesse aux pauvre et prêche les Évangiles. Considéré aujourd’hui comme « pré-Réformateur », il finance l’une des traductions en langue vernaculaire, le franco-provençal, de la Bible.

Au XVIe siècle, les imprimeurs et quelques notables lyonnais adhèrent à la Réforme. Entre 1592 et 1598, la France est déchirée par les Guerres de Religion qui opposent Protestants et Catholiques. Au-delà des aspects théologiques, ces affrontements sont aussi alimentés par des tensions politiques. En 1598, la signature de l’Édit de Nantes par le roi Henri IV instaure une trêve, fragile, et accorde une certaine tolérance  religieuse dans le royaume de France.

Moins d’un siècle plus tard, en 1685, le culte réformé est interdit en France avec la révocation de l’Édit de Nantes par Louis XIV. Sous l’influence de Colbert et de l’Église catholique, le roi prend cette décision pour asseoir son autorité et favoriser l’uniformité religieuse. Cette décision entraîne de nouvelles répressions partout en France, des conversions forcés et, aussi, des départs massifs des Huguenots vers d’autres pays.

Au cours de la Révolution française, la liberté de conscience est accordée aux citoyens dans la Déclaration des Droits de l’Homme (1789) puis la liberté de culte (1791). En 1803, la Ville de Lyon attribue un lieu de culte, la loge du Change située place du Change dans le Vieux-Lyon.

Construction du Grand Temple

Lors du rétablissement du culte à Lyon, les Protestants sont peu nombreux. Cependant, à partir de la seconde moitié XIXe siècle, la communauté se développe avec le retour des bourgeois expatriés en Suisse, en Allemagne, aux Pays-Bas et l’exode rural conduisant de nombreux Protestants drômois et ardéchois à s’installer à Lyon.

En 1872, le temple du Change est trop petit pour accueillir toute la communauté lors des cultes. Le conseil presbytéral décide de construire un nouveau temple sur la rive gauche de Lyon, quartier en expansion, et d’acheter un terrain aux Hospices civils de Lyon. Entre 1880 et 1884, la construction du Grand Temple est confiée à un architecte lyonnais, protestant et diacre, Gaspard André : il a aussi construit le théâtre des Célestins.

Le projet initial du Grand Temple de Lyon

Le Grand Temple tel qu’on le connait aujourd’hui est bien différent du projet initial. Il devait comprendre :

  • le temple et ses dépendances (sacristie, salle du conseil presbytéral) ;
  • deux écoles protestantes (une pour les filles, une pour les garçons) ;
  • un asile, terme utilisé pour désigner les crèches à cette époque.

Au cours de la construction, des adaptations ont eu lieu : le projet d’écoles a été abandonné autour de 1881 car les Protestants décidèrent d’adhérer au projet d’écoles publiques et laïques (loi du 23 mars 1882 dite de Jules Ferry). Il a été aussi ajouté un logement pour le pasteur et un ensemble de salles pour les plus démunis : un vestiaire pour les indigents, une bibliothèque populaire.

Le Grand Temple de Lyon est classé au titre des monuments historiques depuis 2011. Après d’importants travaux de restauration, il a réouvert ses portes à l’automne 2012.

Circulez, il n’y a rien à voir 

Lorsqu’on rentre dans un lieu de culte protestant réformé, on est souvent surpris par l’absence de statues, d’icônes, de tableaux, de cierges. Même la croix est dépourvue de représentation du Christ. Pourquoi ? Ici, l’important est ce que l’on écoute et non ce qu’on voit. En observant l’intérieur du Grand Temple, vous y retrouvez les piliers de la foi protestante :

  • la Bible, placée sur la table de communion. D’ailleurs, en levant les yeux vers les murs et le plafond, des versets bibliques sont repris. Nous y voyons aussi les noms des prophètes de l’Ancien Testament (au-dessus de la tribune ouest), des disciples (au-dessus des tribunes sud et nord), des évangélistes (à la base de la coupole), des réformateurs (de chaque côté de l’orgue);
  • la communion autour de la table. Chez les Protestants, il n’y a que deux sacrements : le baptême et la cène. Au Grand Temple, la cène (la partage du pain et du vin) a lieu deux fois par mois ;
  • la disposition des bancs en carré autour de la chaire et de la table de communion car l’assemblée est partie prenante lors de la célébration du culte, chacun a son importance au sein de la communauté ;
  • la croix sur la table de communion où le Christ crucifié n’est pas représenté. Chez les Protestants, il s’agit de mettre l’accent sur la victoire contre l’injustice, le fanatisme religieux, les persécutions, la douleur… Le symbole de la croix est présent par touches discrètes dans la décoration intérieure du Grand Temple, en particulier sur l’orgue.

L’intérieur du Grand Temple est à l’image de celui des intérieurs de lieu culte dans le milieu protestant. 

Pourquoi les Protestants n’utilisent pas le mot « église » ?

En France, les Protestants utilisent le terme « temple » pour désigner leur lieu de culte afin de se distinguer des Catholiques. Pourtant, dans les autres pays, le terme « église » s’utilise autant pour les lieux de culte protestant que catholique.

Les Protestants et les Catholiques sont tous des Chrétiens. La principale différence réside dans leurs croyances théologiques et leurs pratiques religieuses, en particulier en ce qui concerne l’autorité religieuse, la foi, et les sacrements. 

Même si les communautés chrétiennes ont des différences au niveau théologique, elles ont en commun leur foi chrétienne et cheminent toutes vers l’œcuménisme. De même, les groupes protestants accueillent sans aucune distinction les personnes qui entrent dans un temple, peu importe leur confession religieuse. Il est donc possible de participer à un culte protestant si vous êtes curieux de découvrir la liturgie protestante.

Aspect

Catholiques

Protestants

Autorité religieuse

Reconnaissent l’autorité du pape et du Magistère

Rejettent l’autorité du pape, mettent l’accent sur l’autorité suprême de la Bible, encourageant souvent l’interprétation individuelle des Écritures

La foi et le salut

La foi et les bonnes œuvres sont nécessaires pour le salut

Mettent l’accent sur la justification par la foi seule, considérant la foi en Jésus-Christ comme suffisante pour le salut, avec les bonnes œuvres comme une conséquence de la foi

Sacrements

Reconnaissent sept sacrements

Reconnaissent généralement deux sacrements : le baptême et la Cène, bien que cela puisse varier selon la tradition protestante

Culte et liturgie

Liturgie riche avec des rituels formels

Pratiques liturgiques variées, pouvant aller du formel à l’informel, dépendant de la tradition protestante

Lyon Grand Temple Protestantisme
Autel du Grand Temple

Où se trouve le Grand Temple ?

Ce temple de l’Église réformée ouvre ses portes sur le Rhône. Situé au 3, quai Victor Augagneur dans le 3e arrondissement de Lyon.

Comment y aller ?

En métro, en voiture ou à vélo, vous avez l’embarras du choix pour aller au Grand Temple de Lyon. La location, en plein cœur de Lyon, en fait un site facile d’accès, en particulier, en transports en commun ou à vélo.

En transports en commun

Pour rejoindre le Grand Temple de Lyon, vous pouvez prendre :

  • le métro : descendre à la station Cordeliers (ligne A) et traverser le Rhône
  • le tramway : descendre à la station Liberté (ligne T1)

En voiture

Autour du Grand Temple, il y a plusieurs places de parking. Il est aussi possible de laisser votre voiture dans le parc de stationnement de Cordeliers.

À vélo

Le vélo est l’un des moyens de transport les plus agréables pour aller au Grand Temple de Lyon. À ses pieds passe l’une de principales voies cyclables sécurisées de la métropole lyonnaise. De nombreux parkings à vélos sont présents à proximité.

Quand visiter le Grand Temple ?

Le Grand Temple de Lyon est ouvert pendant les horaires de culte, soit généralement le dimanche matin. Si vous souhaitez le visiter en dehors de ces horaires, je vous recommande de contacter l’équipe presbytérale.

Malgré sa façade majestueuse ouvrant sur le Rhône, le Grand Temple de Lyon est un des monuments méconnus de Lyon. Ce lieu de culte protestant mérite le détour pour comprendre les différences entre toutes les branches du christianisme.

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Que faire en février avec des enfants à Lyon ?

Musée lyon vacances enfants
Image libre de droit, source pixabay.com

Le froid, la grisaille… Nous avons souvent envie de rester au chaud l’hiver. Pourtant, nos enfants et ados ont besoin de se divertir, de courir ou d’explorer de nouveaux mondes. Lors des vacances de février avec des enfants à Lyon, vous avez le choix entre de nombreuses activités pour occuper toute la famille. Faites le plein d’idées de sortie pour préparer les vacances d’hiver avec vos enfants.

Au programme :

Plonger dans l’Aquarium de Lyon

Peu importe la saison, l’Aquarium de Lyon mérité toujours une visite. Quel plaisir de voir les poissons évoluer tranquillement dans les bassins. C’est toujours un émerveillement pour les petits et les grands. À toutes vacances scolaires de la zone A, l’équipe pédagogique de l’Aquarium de Lyon propose des animations pour les enfants.

Suivre une visite contée de Lyon

On aime tous écouté des histoires. Avec Cybèle, vous allez remonter le temps et découvrir tous les secrets de Lyon avec leurs visites contées. Pendant toutes les vacances, les guides-comédiens vous proposent des visites guidées insolites à suivre avec des enfants :

  • à partir de 10 ans : la Croix-Rousse, le Vieux-Lyon, Lyon sous l’occupation
  • à partir de 8 ans : l’Hôtel-Dieu
  • à partir de 6 ans : le Vieux-Lyon, le théâtre antique

Voir le monde en miniature à Mini World Lyon

Sur plus de 3 000 m², le plus grand parc de miniatures animées de France vous attend pour vos vacances en famille à Lyon. Lieu 100 % pensé pour les famille, Mini World Lyon va vous surprendre par la qualité des détails. Cette sortie adaptée pour les enfants à partir de 3 ans est féérique : chaque univers s’anime sous vos yeux avec la circulation des trains, l’alternance jour-nuit…

Rire avec Guignol en février avec des enfants à Lyon

La plus célèbre des marionnettes lyonnaises vous attend sur scène. Personnage emblématique de la culture lyonnaise, Guignol est créé au début du XIXe siècle par Laurent Mourget. Les spectacles de Guignol et de son acolyte, Gnafron, connaissent un succès immédiat. Pour assister à l’une de ses représentations, vous avez deux adresses à tester durant les vacances d’hiver :

Se défouler pendant les vacances d’hiver

S’il fait trop froid pendant les vacances scolaires pour aller dans une aire de jeux en plein air, j’ai plusieurs solutions de repli. En février avec des enfants à Lyon, il y a toujours une activité sportive pour les dégourdir :

Se faire un film avec des enfants à Lyon

Quoi de mieux, quand il fait froid en février avec des enfants à Lyon, que d’aller voir un bon film au cinéma. La référence, selon moi, est l’Institut Lumière avec sa programmation Cinématokid. La sélection de films vaut vraiment le détour et est adapté à tous les âges. D’autres cinémas proposent des films à voir en famille pendant les vacances, comme Le Comoedia et Le Toboggan.

Visiter un musée en famille durant les vacances

À Lyon, il y a toujours un musée à visiter pendant les vacances scolaires. C’est l’occasion de découvrir la richesse de leurs collections ou de participer à un atelier.

Musée des Confluences ouvert tous les jours

Pendant les petites vacances de la zone A, le musée des Confluences ouvre ses portes tous les jours au public de 10 h 30 à 18 h 30. Entre son parcours permanent et ses expositions temporaires, il y a toujours une bonne raison d’y aller. Pour accompagner les familles lors de leur visite, deux livrets-guides sont à disposition à l’entrée du parcours permanents :

  • Origines, les récits du monde
  • Espèces, la maille du vivant

Ce sont des très bons supports pour observer les objets et s’amuser. Petit conseil : glissez dans votre sac un stylo et quelques crayons de couleur.

Musée des Beaux-Arts

Avec le musée des Confluences, le musée des Beaux-Arts est une de mes musées préférés à Lyon. Située au cœur de la Presqu’île, ses collections sont les plus belles de France après celles du Louvre ! Celles que je préfère est l’Antiquité avec ses sarcophages égyptiens, la porte monumentale du temple de Médamoud…

Pour les vacances (les week-ends et les mercredis aussi), le musée propose de nombreux ateliers pour les enfants ou à partager en famille. Dès 18 mois, les tout-petits peuvent participer à une visite pensée 100 % pour eux.

Musée de l’illusion

Voici un musée qui devrait surprendre le jeune public ! Le musée de l’illusion, situé au Grand Hôtel-Dieu, vous fait une expérience immersive : vous allez découvrir tous les secrets des plus grandes illusions.

Sortir de Lyon le temps d’une journée

Et, si le temps d’une journée, vous partiez en excursion hors de Lyon ? Promis, vous n’irez pas faire une balade dans les bois 🙂 En train ou en voiture, vous avez accès de nombreuses destinations touristiques à faire avec des enfants depuis Lyon, comme :

Durant les vacances de février avec des enfants à Lyon, plongez dans l’amusement avec des activités ludiques et captivantes. Avec ces sorties familiales, vous allez profiter de chaque moment en famille et créer des souvenirs qui resteront gravés longtemps après la fin des vacances.

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Séjour à Milan ou comment vivre la Dolce vita

Pour terminer l’année en douceur, rien ne vaut de partir en escapade quelques jours. Nous avons jeté notre dévolu sur l’Italie, en particulier Milan à quelque cinq heures de route de Lyon. Armés de notre guide, nous étions prêts à explorer la capitale de la Lombardie. Découvrez pourquoi organiser un séjour à Milan !

Que faire à Milan pendant un week-end ?

Quand je prépare un voyage, j’aime découvrir les incontournables. Vous savez ces lieux que l’on voit sur toutes les cartes postales. Donc, pour notre séjour à Milan, nous n’avons pas dérogé à la règle et ça valait le coup !

Le Duomo

Incontournable, le Duomo est le symbole de Milan. De l’extérieur à l’intérieur, les ambiances sont différentes. Exubérante, chargée, imposante en façade, la cathédrale devient intimiste, tamisée une fois le portail franchi. Aux dimensions gigantesques, le Duomo contenait à l’origine toute la population milanaise, soit 40 000 personnes. Dans le déambulatoire, un escalier descend jusqu’à la crypte, d’un intérêt relatif. Le summum de la visite se situe sur les toits : la vue sur la ville est unique ! Même quand le ciel est couvert, c’est un instant magique. Petit conseil : pour y accéder, prendre l’escalier est bien plus rapide que l’ascenseur et le vertige n’est pas au rendez-vous !

Intérieur du Duomo - Milan
Intérieur du Duomo
Toit du Duomo - Milan
Vue depuis les toits du Duomo

La Chiesa di San Berdardino alle Ossa

Cette petite église renferme un ossuaire. Dans une ambiance macabre, os et crânes ornent les lieux. À côté de cet édifice se trouve une autre église Santo Stefano Maggiore. Elle donne l’impression d’être fermée au public mais il faut pousser la petite porte à gauche de la façade pour y entrer. Usée par les siècles, ignorée des touristes, elle mérite que le visiteur déambule sous ses voûtes.

La Chiesa di San Berdardino alle Ossa
La Chiesa di San Berdardino alle Ossa
Chiesa Santo Stefano Maggiore
Chiesa Santo Stefano Maggiore

Flâner dans les rues à Brera

Où se trouve le quartier le plus italien de Milan ? À Brera ! Rues étroites et pavées, immeubles anciens. Dans ce quartier comme ailleurs à Milan, il faut pousser les portes des églises, comme celle de San Marco. Le lundi matin, un marché prend ses marques sur la via San Marco, une occasion de se mêler aux Milanais et d’acheter du salame ou du pecorino.

Les autres incontournables à faire à Milan

Lors de notre séjour à Milan, nous avons aussi visiter :

  • Galleria Vittorio Emanuele II : donnant sur la place du Duomo, elle attire la foule (peut-être un peu trop)
  • Castello Sforzesco : visible du loin, il renferme plusieurs musées. Nous avons fait le choix de traverser le château pour nous promener dans le Parco Sempione
  • Triennale di Milano : ce lieu présente des expositions qui se renouvellent régulièrement. Il ne faut pas avoir peur d’être surpris par ce que l’on voit car c’est très « art contemporain »
  • Basilica di Santa Maria delle Grazie : les touristes courent vers cette basilique car le réfectoire voisin conserve La Cène de Léonard de Vinci. Si vous n’avez pas réservé des semaines, voire des mois à l’avance, il est impossible d’aller admirer la célèbre toile. En revanche, cela ne doit pas exclure la visite de la basilique et de son cloître
  • Chiesa di San Maurizio : cette petite chapelle est couverte de fresques réalisées par l’un des élèves de Léonard de Vinci. À gauche de l’autel, une petite porte permet d’accéder à la salle des religieuses, lieu où ces dernières s’installaient durant l’office.
Basilica di Santa Maria delle Grazie
Basilica di Santa Maria delle Grazie

Où manger à Milan ?

Pour nous manger, c’est quelque chose de sérieux. Et, quitte à être en Italie, autant se faire plaisir ! Voici les adresses où nous nous sommes régaler durant notre escapade à Milan :

  • Volemose Bene – via della Moscova 25 (proximité de Brera) – Voici une adresse où l’on mange pas cher et bon. Je vois encore mon assiette de pâtes arrivée : une montagne de bonheur ! Loin des flots de touristes, cette adresse est vraiment conviviale
  • Dongiò – via Bernardino Corio 3 (proximité de la Porta Romana) – Ici, on mange bien et ça se sait. Il vaut mieux réserver à l’avance pour être certain d’avoir une table
  • Giulio Pane e Ojo – via Ludovico Muratori 10 (proximité de la Porta Romana) – Le soir de notre arrivée à Milan, nous avons mangé dans ce restaurant. C’était bon, c’était convivial. Nous étions tout de suite dans l’ambiance de nos futurs repas milanais
  • Peck Italian Bar – via Cesare Cantù 3 (proximité du Duomo) – Même si l’addition peut être assez élevée, la qualité est au rendez-vous. À tester : le tiramisu !

Comment aller à Milan ?

Situé au nord de l’Italie, Milan est une destination facile d’accès peu importe le moyen de transport utilisé. Depuis Lyon, vous avez le choix entre le train, l’avion, la voiture et même le bus (là, il ne faut pas être pressé !). Nous avions fait le choix d’y aller en voiture : comptez environ 5 heures de trajet.

Quel guide utiliser pour préparer votre week-end à Milan ?

De manière générale, j’utilise le guide du Routard pour préparer nos vacances. Mais, pour Milan, j’ai fait le choix du Lonely Planet. Pourquoi ? Tout simplement parce que, dans ce city guide, j’avais le concentré d’informations pour cette destination.

Que retenir de notre séjour à Milan ?

On mange bien (normal, c’est l’Italie). De plus, ce n’est pas pour rien que Milan est la capitale de la mode. En effet, les Milanais accordent un soin particulier à la tenue de leurs amis canins : aucun chien n’oserait sortir sans son manteau ! Enfin, Milan propose une large gamme de tramways, de l’antiquité à la modernité, à qui veut utiliser ce transport en commun.

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Où que l’on aille en Italie, c’est le dépaysement assuré. Et, un séjour à Milan ne déroge pas à la règle. Depuis Lyon, la capitale de la Toscane (une des plus belles régions d’Italie !) est une destination parfaite pour un long week-end, en amoureux, en famille ou entre amis.

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Que faire à Lyon en automne ?

Quai Gailleton Lyon

Ah, Lyon en automne ! Une saison où la ville se pare de couleurs chatoyantes, où les feuilles mortes craquent sous nos pas, et où l’air se charge des effluves enivrants de la cuisine lyonnaise. Si vous cherchez des activités hors des sentiers battus pour profiter pleinement de cette saison, vous êtes au bon endroit. Laissez-moi vous guider à travers les trésors cachés de notre belle cité.

Au programme :


Flâner le long des berges du Rhône

En automne, le Rhône semble revêtir une aura particulière. Ses berges offrent un spectacle magnifique où les arbres se parent de teintes orangées et rouges, créant une toile de fond parfaite pour une balade romantique ou une session photo improvisée. Profitez de l’atmosphère paisible pour vous ressourcer, tout en observant les reflets chatoyants de la ville sur les eaux calmes du fleuve. Mon conseil est de remonter le cours du fleuve en direction du parc de la Tête d’Or : c’est l’une des plus belles saisons pour découvrir ce lieu emblématique de Lyon.

Pont de l'Université Lyon


Explorer les traboules secrètes du Vieux-Lyon

Lyon est célèbre pour ses traboules, ces passages étroits et mystérieux qui relient les rues entre elles. Mais saviez-vous qu’en automne, ces traboules prennent une tout autre dimension ? Les feuilles mortes s’accumulent dans les coins, ajoutant une touche de mystère à ces passages déjà chargés d’histoire. Partez à la découverte de ces labyrinthes urbains et laissez-vous envoûter par leur charme unique.


Savourer les délices de la cuisine lyonnaise

L’automne à Lyon est également la saison parfaite pour se délecter des spécialités culinaires. Laissez-vous tenter par une visite au marché Saint-Antoine, où les étals regorgent de produits frais et de saison. Faites une halte dans l’un des bouchons traditionnels de la ville pour déguster un délicieux plat de boudin aux pommes ou de quenelle de brochet. Un véritable festin pour les papilles, à déguster sans modération ! Ces plats savoureux sauront vous réchauffer si le temps n’est pas de la partie.


S’évader dans les Monts d’Or

Pour une escapade automnale dépaysante, direction les Monts d’Or. À seulement quelques kilomètres de la ville, ce petit coin de paradis offre un spectacle époustouflant lorsque les feuilles se parent de leurs plus belles couleurs. Partez en randonnée à travers les sentiers boisés, à la recherche de points de vue spectaculaires sur la vallée du Saône. Une bouffée d’air frais et de nature qui vous ressourcera à coup sûr.


Se plonger dans l’histoire de Lyon

Enfin, quoi de mieux que de plonger dans l’histoire fascinante de Lyon en automne ? Profitez de la saison pour visiter les musées et monuments emblématiques de la ville, tels que le musée Gadagne ou la basilique de Fourvière. Laissez-vous transporter à travers les siècles, en découvrant les secrets bien gardés de notre belle cité. Une véritable leçon d’histoire, à la fois enrichissante et captivante. Au moins, vous serez bien au chaud s’il vente ou pleut 🙂


Se perdre dans les rues de Lyon en automne

Rue Saint Georges et Théâtres Romain

Sous un grand ciel bleu, Lyon est plein de charme avec son manteau automnal. Je vous partage ma balade dans les rues de Lyon depuis mon 7e arrondissement de cœur.

En route pour le Vieux-Lyon

Après avoir franchi le pont de l’Université, la place Gailleton offre un joli panaché de couleurs automnales. Une fois la Presqu’île traversée par la rue Sainte-Hélène et la Saône franchie par la passerelle Saint-Georges, les déambulations dans le Vieux-Lyon commencent. Je préfère éviter la foule de la rue Saint-Jean pour accéder au sommet de la colline.

Grimper sur les hauteurs de Fourvière

En remontant la rue Saint-Georges, je croise un lion que me toise du haut de son mur. Au pied de la montée du Gourguillon, je sens que l’ascension jusqu’aux théâtres romains va être longue mais quel plaisir une fois arrivée d’apprécier ce panorama de Lyon !

Théâtres romains Lyon

Avant de rejoindre l’autre vue imprenable de Lyon, je prends la direction de la rue Roger Radisson pour voir l’un des nombreux vestiges des aqueducs romains que révèle Fourvière aux curieux. Je fais plusieurs détours sur la colline avant de rejoindre la montée Nicolas de Lange et, surtout, la montée des Carmes Déchaussées d’où se dévoilent au loin la tour Incity et le Crayon.

Roger Radisson Lyon

Apprécier les panoramas à couper le souffler sur Lyon

Basilique de Fourvière Lyon

Ensuite, je vais à l’esplanade de la basilique de Fourvière pour (re)voir la vue imprenable sur la ville. Ensuite, je tourne le dos à la basilique pour me diriger vers la piste de la Sarra par la passerelle des Quatre vents. De 1964 à 1975, ce lieu dédié aujourd’hui aux fans de VTT était une piste de ski en plein cœur de la ville. Depuis la Sarra, une autre vue de Lyon se révèle : la colline de la Croix-Rousse avec, à ses pieds, la Saône.

Basilique Fourvière Lyon

Se régaler pour reprendre des forces

Après ces longs moments à dominer Lyon et à aller d’un panorama à l’autre, je descends vers la foule du Vieux-Lyon avec un objectif : Terre adélice, glacier situé au 1 place de la Baleine ! Oui, quand le soleil est de la partie à Lyon en automne, une glace est la bienvenue !

Vieux Lyon rue de la Bombarde

Décidée à rentrer chez moi, je quitte le Vieux-Lyon par la rue de la Bombarde où se trouve un garage abandonné. De la Saône au Rhône en passant par la place Bellecour, je rejoins le pont de l’Université, signe que ma balade se termine.

Lyon en automne est une destination de choix pour les amateurs de découvertes insolites et de moments inoubliables. Que vous soyez touriste en quête d’authenticité ou Lyonnais en quête de nouveauté, laissez-vous charmer par les trésors cachés de notre belle ville. À vos agendas, l’automne n’attend que vous pour révéler tous ses secrets !

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Quels sont les restaurants ouverts à Lyon le dimanche soir ?

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Encore un dimanche soir de la flemme. Vous savez celui où vous aimeriez bien ne pas cuisiner. Par contre, vous avez aucune envie de commander une pizza en livraison. Ce qui vous ferait plaisir : manger un restaurant, déguster de bons p’tits plats faits avec amour par le chef-cuisinier. Mais, dès que vous trouvez un resto qui vous plait, il n’est pas ouvert. Tadam, j’ai la solution : j’ai testé plusieurs adresses de restaurants ouverts à Lyon le dimanche. Il ne vous reste plus qu’à choisir entre cuisine française et cuisine du monde.

Brasserie Georges, l’un des incontournables restaurants ouverts à Lyon les dimanches soirs

Une bonne bière. Une choucroute. Une ambiance chaleureuse. La Brasserie Georges est l’adresse incontournable si vous cherchez des restaurants ouverts à Lyon les dimanches soirs (tous les soirs de la semaine d’ailleurs !). Depuis 1836, elle accueille les Lyonnais et les touristes. Un monument de la cuisine en somme. Si c’est votre anniversaire, vous serez la star au désert. C’est un restaurant-brasserie convivial où vous passez un bon moment autour d’un plat fait-maison. D’ailleurs, cette adresse est parfaite pour un repas de groupe ou de famille grâce à sa grande salle de restaurant.

Informations pratiques :

  • 30, cour de Verdun (69002)
  • Station : Perrache (Tramway T1 et T2, Métro A)

Le Cabaretier

S’il y a un quartier où l’on est sûr de trouver un endroit où manger tous les jours, c’est bien dans le Vieux-Lyon. Par contre, il y a un peu de tout. J’y ai mon adresse de bouchon lyonnais, Le Cabaretier. Ce restaurant situé un peu à l’écart de la rue Saint-Jean propose à l’ardoise des plats classiques de la gastronomie lyonnaise, en particulier le tablier de sapeur (pas testé car ça ne me fait pas très envie). L’ambiance est décontractée et la note pas trop salée. Un bon rapport qualité-prix pour un restaurant traditionnel ouvert le dimanche soir.

Informations pratiques :

  • 6, rue de la Fronde (69005)
  • Station : Vieux-Lyon (Métro D)

Aux Trois Maries

La deuxième adresse est, elle aussi, située dans le Vieux-Lyon. Dans un autre genre, Aux Trois Maries propose des plats lyonnais en version plus raffinée. Le service est impeccable, la déco est moins typique que Le Cabaretier. D’ailleurs, on n’est pas dans la même gamme de prix mais c’est très bon. Avec sa grande terrasse ombragée, vous pouvez l’été profiter de l’ambiance toute particulière du quartier historique.

Informations pratiques :

  • 1, rue Trois Marie (69005)
  • Station : Vieux-Lyon (Métro D)

Oto-Oto Izakaya

Changeons maintenant de quartier : je vous amène à la Guillotière pour découvrir l’Oto-Oto Izakaya, un restaurant japonais qui ne propose pas de sushis et autres plats attendus. C’est une sorte de bar à tapas nippon. Ce que j’y mange : des brochettes de viande, des sui gyozas au porc, des ebi fry (crevettes panées frites) et des karaage au poulet ! On trouve aussi à la carte des bières japonaises, du saké… Une vraie immersion dans l’ambiance des bars japonais.

Le cadre est aussi très agréable avec les cocons intimistes où on peut s’isoler quand on est entre amis. Cependant, pensez à retirer de l’argent avant d’y aller : il ne prend pas la carte bleue. Passer ce p’tit désagrément, c’est l’un de mes restaurants ouverts à Lyon le dimanche soir que je préfère.

Informations pratiques :

  • 15, rue d’Aguesseau (69007)
  • Station : Guillotière (Tram T1 et métro D)

Bangkok Royal

Je vous propose de poursuivre notre périple en terres asiatiques sur la Presqu’île et de vous initier aux saveurs thaïlandaises au Bangkok Royal. Installés dans une déco feutrée, vous regardez la carte et sélectionnez vos plats thaï en vous aidant des pictos piments. C’est important d’être vigilant, vos papilles peuvent vite prendre un coup de chaud. Testez le poulet au curry vert, un délice ! Si vous cherchez des restaurants ouverts à Lyon le dimanche avec un service hyper efficace, c’est l’adresse pour ne pas rentrer trop tard et pour être opérationnel le lundi matin quand le réveil sonne ! Bonus pour les soirs d’été : vous pouvez manger sur la terrasse sur le côté du restaurant.

Informations pratiques :

  • 40, rue du Sergent Blandan (69001 Lyon)
  • Station : Hôtel de Ville (Métro A)

L’Étoile d’Orient

Toujours envie de voyager dans votre assiette ? Direction l’Étoile d’Orient à quelques enjambées au sud de la place Bellecour. Dans ce restaurant ouvert le dimanche soir, la cuisine tunisienne est à l’honneur : j’ai déjà goûté le tajine de poulet au citron et le couscous. Petit bonus pour les végétariens : un menu pensé pour vous ! Parce que trouver un restaurant ouvert le dimanche dans ce coin du 2e arrondissement n’est pas évident, je vous recommande d’appeler pour faire une réservation de table.

Informations pratiques :

  • 31, rue des remparts d’Ainay (69002)
  • Station : Ampère – Victor Hugo (Métro A)

Et, voilà, vous êtes armés pour trouver des restaurants ouverts à Lyon le dimanche soir si vous avez envie de manger dehors. Il ne vous reste plus qu’à réserver votre table et, surtout, à savourer les bons plats qui vous seront servis. Bon appétit !

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